Verdwenen non wist te veel van seksfuiven: Soeur Gabrielle et les tentations de l'Opus dei !
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Verdwenen non wist te veel van seksfuiven: Soeur Gabrielle et les tentations de l'Opus dei !
Dernière édition par 6clopes le Mar 5 Juil - 17:24, édité 4 fois
6clopes- Messages : 1552
Date d'inscription : 23/12/2009
Soeur Gabrielle ne s'est pas suicidée.
Dernière édition par 6clopes le Lun 8 Mar - 18:06, édité 1 fois
6clopes- Messages : 1552
Date d'inscription : 23/12/2009
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6clopes- Messages : 1552
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Torhout: abus sexuels d'un père blanc sur des handicapés
Voir egalement,le dossier (confirme,par le parquet de Bruges),des affaires graves à la IMP de TORDALE, ville de Torhout . Sévices sexuels sur enfants handicapes ,par 1 pere blanc (cure).
dossier de presse + tard OWEN
dossier de presse + tard OWEN
grand lug- Messages : 748
Date d'inscription : 25/12/2009
6clopes- Messages : 1552
Date d'inscription : 23/12/2009
Un juge de la jeunesse impliqué
MONSIEUR OPSTAELE !!! ho!ho! ancien juge de la jeunesse ?6clopes a écrit:
grand lug- Messages : 748
Date d'inscription : 25/12/2009
Bras cassé: Le baron Bracq
Et, l'histoire du Juge BRACQ, HO pardon ! qui a créé une oeuvre... d'où son nouveau nom de BARON BRACQ, qui la connait ?
grand lug- Messages : 748
Date d'inscription : 25/12/2009
sluimerende spaargelden
sluimerende rekeningen ,van wie ,geplaatste kinderen zonder rechten en zonder bewijs van verblijf in instelling , geen bewijs van bestaan,WAAROM , goeie aanvraag.
WAAR IS HET GELD WAAR ZIJN PAPIEREN WAAROM VERDWENEN?????
WAAR IS HET GELD WAAR ZIJN PAPIEREN WAAROM VERDWENEN?????
rosmerta- Messages : 15
Date d'inscription : 02/03/2010
andre OPSTAEL
grand lug a écrit:Et, l'histoire du Juge BRACQ, HO pardon ! qui a créé une oeuvre... d'où son nouveau nom de BARON BRACQ, qui la connait ?
Le juge baron BRACQ ! Des photos promises de ce triste sire ?
Andre OPSTAEL: juge de la jeunesse a BRUGES, responsable du home CAROLIENTJE, responsable les dernieres annees de la collecte de fonds pour protection de l'enfance en détresse: ce juge est en retraite ,mais toujours actif dans les sociétés bienfaitrices.
6clopes- Messages : 1552
Date d'inscription : 23/12/2009
MAINS SALES? mais intouchables!
6clopes a écrit:
Le juge de la jeunesse Andre OPSTAELE, durant son mandat de juge, a t il recu des temoignages d enfants isoles et si fragiles ??????
grand lug- Messages : 748
Date d'inscription : 25/12/2009
Re: Verdwenen non wist te veel van seksfuiven: Soeur Gabrielle et les tentations de l'Opus dei !
Ces religieux qui s'évaporent
(31/05/2007)
Une nonne a disparu en même temps que l'aumônier de la prison de Gand
BRUXELLES Nous racontions, c'était le 11 mai, que deux femmes bien décidées, Christel et Hilde Van Hiel, s'étaient fixé pour objectif de faire la lumière, malgré les années après, sur la disparition de leur oncle Herman Van Hiel, prêtre aumônier à la prison de Gand quand il avait disparu le 7 mai 1982.
Il avait 25 ans. Tout récemment, un avocat célèbre en Flandre réveillait l'affaire en révélant que, le jour de la disparition, l'aumônier lui avait demandé rendez-vous. Me Vermassen avait dû remettre le rendez-vous au lendemain. Il n'a jamais su l'objet de l'entretien. Le lendemain, le prêtre avait disparu. À l'époque, Jef Vermassen défendait le tueur en série Freddy Horion qui était en cavale de la prison de Gand, prison dont Van Hiel était donc l'aumônier.
Remuez le passé, il en sortira toujours quelque chose : Herman Van Hiel n'est pas le seul religieux à s'être volatilisé au début 1982, il n'est pas le seul dont les restes n'ont jamais été retrouvés.
À une date que l'on peut situer au (jeudi) 4 mars 1982, une religieuse, soeur Gabrielle, zuster Gabriëlla, a disparu de sa chambre du couvent des soeurs de Saint-Vincent, Kerk-straat, rue de l'Église, à Termonde, et personne n'a jamais su ce qu'elle est devenue.
Le couvent existe toujours. Hier, nous rencontrons la mère supérieure. Celle-ci se souvient parfaitement de soeur Gabrielle : Germaine Robberechts de son nom de jeune fille. Gabrielle appartenait à la communauté depuis 1962; elle avait 56 ans à l'époque. Pendant deux ans, on a espéré ou fait mine d'espérer qu'elle reviendrait : sa disparition n'a été officialisée que le 22 août 1984.
Au couvent, l'accueil est glacé. La supérieure explique qu'intra-muros, l'affaire est un "sujet tabou", une affaire classée, un "doofpot". Et l'on se dit que, sans ses nièces, la disparition, la même année, de Herman Van Hiel, serait elle aussi un doofpot.
Kathelijne De Brauwer n'aime pas les doofpotten. En 1999, De Brauwer a publié, aux éditions EPO, le résultat de dix-sept ans d'enquête sur la disparition de soeur Gabrielle. En 1982, Kathelijne écrivait des livres pour enfants. Elle travaillait au couvent St-Vincent, ou plutôt à l'institut St-Vincent qui est lié au couvent, encore que les deux fussent très séparés.
Kathelijne n'a jamais croisé qu'une fois soeur Gabrielle. C'était mal vu. En revanche, les deux se sont beaucoup parlé (par téléphone, c'était plus discret) en décembre 1981 et janvier 1982. Soeur Gabrielle avait dû apprendre que Kathelijne écrivait. Gabriëlla voulait lui parler d'irrégularités financières dans l'église. Dans ses derniers coups de fil, zuster Gabriëlla semblait inquiète.
Kathelijne De Brauwer n'a pas appris immédiatement la disparition. "On a fait le silence là autour." 25 ans après, le doofpot est toujours d'actualité. Les circonstances sont semblables. Chez Van Hiel, tout est retrouvé intact, rien n'a disparu, l'aumônier est sorti si précipitamment qu'il n'a pas pris la peine d'enfiler sa veste. Au couvent, rien n'avait disparu dans la chambre de Gabrielle. Tout a été retrouvé, même le Kodak auquel elle tenait tant.
Nous rencontrons Kathelijne à Schaerbeek. Selon elle, l'enquête n'a vraiment débuté qu'en 1990. Soeur Gabrielle était les yeux et les oreilles de la communauté. Elle savait tout.
En 1997, quand elle décide d'écrire ce livre, Kathelijne contacte sa hiérarchie, les évêques Van Peteghem, Luysterman, Godfried Danneels. La chape de plomb lui a fait penser au Kremlin de l'époque Brejnev.
À l'époque, Kathelijne dirige le service de presse des OEuvres pontificales missionnaires : elle sera écartée. Au moment où elle écrit Dood van een Non ? (Mort d'une Nonne ?), personne ne lui parle de la disparition de l'aumônier de Gand.
Aujourd'hui, Kathelijne De Brauwer a 55 ans. Elle se pose des questions. Elle croit peu au hasard. Trois contacts lui ont certifié que les deux affaires étaient liées. Il est question de moeurs.
Lundi prochain, Hilde et Christel, les nièces de Herman Van Hiel, ont rendez-vous avec des policiers.
Gilbert Dupont
© La Dernière Heure 2007
(31/05/2007)
Une nonne a disparu en même temps que l'aumônier de la prison de Gand
BRUXELLES Nous racontions, c'était le 11 mai, que deux femmes bien décidées, Christel et Hilde Van Hiel, s'étaient fixé pour objectif de faire la lumière, malgré les années après, sur la disparition de leur oncle Herman Van Hiel, prêtre aumônier à la prison de Gand quand il avait disparu le 7 mai 1982.
Il avait 25 ans. Tout récemment, un avocat célèbre en Flandre réveillait l'affaire en révélant que, le jour de la disparition, l'aumônier lui avait demandé rendez-vous. Me Vermassen avait dû remettre le rendez-vous au lendemain. Il n'a jamais su l'objet de l'entretien. Le lendemain, le prêtre avait disparu. À l'époque, Jef Vermassen défendait le tueur en série Freddy Horion qui était en cavale de la prison de Gand, prison dont Van Hiel était donc l'aumônier.
Remuez le passé, il en sortira toujours quelque chose : Herman Van Hiel n'est pas le seul religieux à s'être volatilisé au début 1982, il n'est pas le seul dont les restes n'ont jamais été retrouvés.
À une date que l'on peut situer au (jeudi) 4 mars 1982, une religieuse, soeur Gabrielle, zuster Gabriëlla, a disparu de sa chambre du couvent des soeurs de Saint-Vincent, Kerk-straat, rue de l'Église, à Termonde, et personne n'a jamais su ce qu'elle est devenue.
Le couvent existe toujours. Hier, nous rencontrons la mère supérieure. Celle-ci se souvient parfaitement de soeur Gabrielle : Germaine Robberechts de son nom de jeune fille. Gabrielle appartenait à la communauté depuis 1962; elle avait 56 ans à l'époque. Pendant deux ans, on a espéré ou fait mine d'espérer qu'elle reviendrait : sa disparition n'a été officialisée que le 22 août 1984.
Au couvent, l'accueil est glacé. La supérieure explique qu'intra-muros, l'affaire est un "sujet tabou", une affaire classée, un "doofpot". Et l'on se dit que, sans ses nièces, la disparition, la même année, de Herman Van Hiel, serait elle aussi un doofpot.
Kathelijne De Brauwer n'aime pas les doofpotten. En 1999, De Brauwer a publié, aux éditions EPO, le résultat de dix-sept ans d'enquête sur la disparition de soeur Gabrielle. En 1982, Kathelijne écrivait des livres pour enfants. Elle travaillait au couvent St-Vincent, ou plutôt à l'institut St-Vincent qui est lié au couvent, encore que les deux fussent très séparés.
Kathelijne n'a jamais croisé qu'une fois soeur Gabrielle. C'était mal vu. En revanche, les deux se sont beaucoup parlé (par téléphone, c'était plus discret) en décembre 1981 et janvier 1982. Soeur Gabrielle avait dû apprendre que Kathelijne écrivait. Gabriëlla voulait lui parler d'irrégularités financières dans l'église. Dans ses derniers coups de fil, zuster Gabriëlla semblait inquiète.
Kathelijne De Brauwer n'a pas appris immédiatement la disparition. "On a fait le silence là autour." 25 ans après, le doofpot est toujours d'actualité. Les circonstances sont semblables. Chez Van Hiel, tout est retrouvé intact, rien n'a disparu, l'aumônier est sorti si précipitamment qu'il n'a pas pris la peine d'enfiler sa veste. Au couvent, rien n'avait disparu dans la chambre de Gabrielle. Tout a été retrouvé, même le Kodak auquel elle tenait tant.
Nous rencontrons Kathelijne à Schaerbeek. Selon elle, l'enquête n'a vraiment débuté qu'en 1990. Soeur Gabrielle était les yeux et les oreilles de la communauté. Elle savait tout.
En 1997, quand elle décide d'écrire ce livre, Kathelijne contacte sa hiérarchie, les évêques Van Peteghem, Luysterman, Godfried Danneels. La chape de plomb lui a fait penser au Kremlin de l'époque Brejnev.
À l'époque, Kathelijne dirige le service de presse des OEuvres pontificales missionnaires : elle sera écartée. Au moment où elle écrit Dood van een Non ? (Mort d'une Nonne ?), personne ne lui parle de la disparition de l'aumônier de Gand.
Aujourd'hui, Kathelijne De Brauwer a 55 ans. Elle se pose des questions. Elle croit peu au hasard. Trois contacts lui ont certifié que les deux affaires étaient liées. Il est question de moeurs.
Lundi prochain, Hilde et Christel, les nièces de Herman Van Hiel, ont rendez-vous avec des policiers.
Gilbert Dupont
© La Dernière Heure 2007
Invité- Invité
Re: Verdwenen non wist te veel van seksfuiven: Soeur Gabrielle et les tentations de l'Opus dei !
BONNE PECHE 5/5 ;bravo zezette .
grand lug- Messages : 748
Date d'inscription : 25/12/2009
Et ça aussi c'est à cause des angliches ?
Les enfants proies des orphelinats, c'est aussi les angliches, tant qu'à faire... le cardinal ne doit surtout pas se gêner, il doit prier, prier avant toute chose, c'est l'évidence !
Question à 999 pounds: qu'est-ce qui ressemble plus à un écran de fog que des roastbeefs ?
---
Le dossier Dutroux a été envoyé par un magazine anglais
source: lesoir.be
mercredi 07 juillet 2010, 09:07
Les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa, découvertes lors des perquisitions menées à l’archevêché de Malines, ont été envoyées au cardinal Danneels par un mensuel anglais qui voulait obtenir une réaction de sa part, rapporte De Morgen.
(Belga)
Les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa, découvertes lors des perquisitions menées à l’archevêché, ont été envoyées au cardinal Danneels en 2004 par les auteurs d’un magazine satirique anglais, rapporte De Morgen ce mercredi. Le mensuel The Sprout espérait ainsi obtenir une réaction du Cardinal. Les auteurs du magazine pensent en effet que Monseigneur Danneels et onze autres notables belges pourraient avoir tué les fillettes. De Morgen rappelle qu’au début du procès d’assises contre Marc Dutroux, début 2004, trois DVD contenant l’intégralité du dossier judiciaire contre Dutroux et consorts sont arrivés dans les mains de journalistes judiciaires belges. Les éditeurs du magazine anglais en ont reçu une copie en avril 2004.
Le magazine mensuel est principalement destiné à la communauté d’expatriés à Bruxelles. Il a publié les photos de l’autopsie comme « preuves » pour illustrer une histoire inventée de toutes pièces selon laquelle Julie et Mélissa ne seraient pas mortes dans la cave de Marc Dutroux mais lors du tournage d’un « snuffmovie » auquel douze notables belges auraient participé. Selon « The Sprout », dont l’entièreté du tirage avait d’ailleurs été saisi par la Justice après à peine cinq heures, le bourgmestre de Molenbeek Philippe Moureaux et le cardinal Godfried Danneels y avaient notamment participé. Les auteurs du magazine avaient également envoyé plusieurs photos au Vatican dans l’espoir d’obtenir une réaction. Le Vatican avait renvoyé les documents à l’archevêché de Malines, où ils ont vraisemblablement disparu dans les archives, avant d’être découverts par les enquêteurs, selon De Morgen.
(Belga)
Question à 999 pounds: qu'est-ce qui ressemble plus à un écran de fog que des roastbeefs ?
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Le dossier Dutroux a été envoyé par un magazine anglais
source: lesoir.be
mercredi 07 juillet 2010, 09:07
Les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa, découvertes lors des perquisitions menées à l’archevêché de Malines, ont été envoyées au cardinal Danneels par un mensuel anglais qui voulait obtenir une réaction de sa part, rapporte De Morgen.
(Belga)
Les photos de l’autopsie de Julie et Mélissa, découvertes lors des perquisitions menées à l’archevêché, ont été envoyées au cardinal Danneels en 2004 par les auteurs d’un magazine satirique anglais, rapporte De Morgen ce mercredi. Le mensuel The Sprout espérait ainsi obtenir une réaction du Cardinal. Les auteurs du magazine pensent en effet que Monseigneur Danneels et onze autres notables belges pourraient avoir tué les fillettes. De Morgen rappelle qu’au début du procès d’assises contre Marc Dutroux, début 2004, trois DVD contenant l’intégralité du dossier judiciaire contre Dutroux et consorts sont arrivés dans les mains de journalistes judiciaires belges. Les éditeurs du magazine anglais en ont reçu une copie en avril 2004.
Le magazine mensuel est principalement destiné à la communauté d’expatriés à Bruxelles. Il a publié les photos de l’autopsie comme « preuves » pour illustrer une histoire inventée de toutes pièces selon laquelle Julie et Mélissa ne seraient pas mortes dans la cave de Marc Dutroux mais lors du tournage d’un « snuffmovie » auquel douze notables belges auraient participé. Selon « The Sprout », dont l’entièreté du tirage avait d’ailleurs été saisi par la Justice après à peine cinq heures, le bourgmestre de Molenbeek Philippe Moureaux et le cardinal Godfried Danneels y avaient notamment participé. Les auteurs du magazine avaient également envoyé plusieurs photos au Vatican dans l’espoir d’obtenir une réaction. Le Vatican avait renvoyé les documents à l’archevêché de Malines, où ils ont vraisemblablement disparu dans les archives, avant d’être découverts par les enquêteurs, selon De Morgen.
(Belga)
6clopes- Messages : 1552
Date d'inscription : 23/12/2009
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